L’Espagne est réputée
pour l’éducation, les styles de dressage et ses races de chevaux
Définitions de termes
techniques

Appuyer : le cheval se déplace
latéralement, en croisant ses membres
Cabriole : le cheval lève
ses 4 membres et détache une ruade avec ses postérieurs,
ses antérieurs restant repliés
Galop d’école : galop très
rassemblé et lent, à 4 temps. Le cheval anticipe le poser
des postérieurs.
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Levade :
le cheval forme un angle de 30 degrés avec le sol. Un équilibre
parfait permet le maintien de l’attitude quelques instants, puis il revient
en douceur à terre. |
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Pas espagnol
: le cheval avance en élevant et en tendant vers l’avant les antérieurs |
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Piaffer
: trot en diagonale, relevé, rond, suspendu et majestueux, dans
lequel le cheval se projette d’un diagonal sur l’autre |
Passage: trot
en diagonale, suspendu, lent et majestueux
Reculer : le cheval recule
Trot d’école : trot lent,
soutenu, relevé et cadencé
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Le
pas espagnol

Le pas espagnol
est un pas cadencé, majestueux et spectaculaire dans lequel le cheval
élève et tend vers l’avant chaque antérieur l’un après
l’autre, tout en avançant franchement et en conservant son rassembler.
Un pas espagnol de qualité est défini par l’équilibre,
l’amplitude, la parfaite symétrie du geste, la régularité,
la stabilisation et la relaxation du cheval.
Il
développe, renforce et assouplit les épaules du cheval. Il
libère et amplifie le geste des antérieurs.
Il sollicite l’attention du cheval, développe sa sensibilité
et favorise sa coordination motrice.
C’est aussi pour le cavalier un moyen de développer son habileté
motrice et d’affiner son tact équestre.
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Présentation du passage

Le passage est un
trot majestueux d’une grande lenteur, fortement diagonalisé, relevé
et écouté, avec des temps de suspension très soutenus.
Un passage de qualité sera marqué par l’équilibre,
la régularité, la flexion prononcée des articulations,
la relaxation du cheval et la totale discrétion du cavalier. C’est
l’une des formes les plus abouties de l’équilibre équestre.
Le passage reste un moyen extraordinaire pour rassembler, arrondir et
soumettre le cheval. Quand celui-ci est complètement dominé,
il se livre au passage avec énergie, souplesse et relaxation.
L’impulsion, l’équilibre et la légèreté
réclamés rendront le cheval plus beau, plus majestueux. L’exercice
du passage va assouplir, développer et fortifier l’arrière
train.
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Le piaffer

C’est un trot
sur place, diagonalisé, relevé, rond, suspendu et majestueux
dans lequel le cheval se projette en cadence d’un diagonal sue l’autre.
Un piaffer de qualité sera marqué par l’équilibre,
la régularité, la flexion prononcée des articulations,
la relaxation du cheval et la totale discrétion du cavalier. Ce
n’est pas sa hauteur qui fait la qualité d’un piaffer.
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